l'apiculteur

• Cette passion m'est venue de mon père, il y a 10 ans qui , nouvellement retraité, par curiosité, a fait l'effort d'aller au-delà des craintes que peut susciter ce passe temps pour un néophyte.

• Je l'ai regardé faire, j'ai trouvé ça beau et apaisant, je m'y suis essayé aussi de manière très amatrice en m'inscrivant dans un rucher Ecole. Avec 4 ruches, je produisais du miel pour mes copains et moi. La génétique de mes colonies était celle d’essaims sauvages que je trouvais à la cime des arbres, pas la meilleure sur l’échelle de la douceur et de la production à la ruche. Durant les 8 premières années, j’ai avant tout progressé dans la rapidité de déploiement de mon échelle trois pans pour récupérer les essaims en haut des arbres. La production à la ruche était famélique, et le travail au rucher était du close combat entre moi et 60 000 abeilles qui ne pensaient qu’à me faire la peau. Par chance, je ne suis pas allergique aux piqures d’hyménoptères….Pour résumer c’était un peu n’importe quoi.

• De nombreuses menaces ont conduit à un déclin inquiétant des populations d'abeilles dans de nombreuses régions du monde, un phénomène connu sous le nom de « syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles ». C'est pourquoi la conservation et la protection des abeilles sont devenues une priorité pour préserver leur rôle vital dans l'économie agricole et les écosystèmes en général.

• Depuis trois ans, je m’attache à augmenter mon cheptel jusqu’au point d’équilibre (encore à définir) qui me permettra de concilier vie de famille / passe temps / vie professionnelle. La génétique est maitrisée et le travail de la ruche se fait maintenant sans gant. J’ai à date une cinquantaine de ruche reparties sur trois ruchers entre la Dordogne (region natale) et le causse du Quercy ou je vis. J'ai developpé en plus un élevage de reines. Cette démarche est avant tout une démarche prospective et militante.

Mes motivations sont: